Piano

Les nuances, le phrasé, l’interprétation. Chronique d’un professeur de piano N° 9.

On ne naît pas musicien on le devient Il ne faut donc pas prendre les nuances au pied de la lettre et notre système de notation n’est pas suffisamment précis pour transmettre une traduction rigoureuse des intentions du compositeur (...)
La mémoire, la méthode de travail au piano. Chronique d’un professeur de piano N°10

Jouer de mémoire ou avec partition La mémoire auditive, que l’on active par exemple en chantonnant, permet de repérer les fausses notes dans le jeu et permet d’anticiper ce que l’on joue dans les secondes à venir (...)
Le choix d’un instrument, le temps de travail. Chronique d’un professeur de piano n°11

Un piano numérique n’est pas pire qu’un vieux et mauvais piano acoustique (...)
Le choix de la méthode. Chronique d’un professeur de piano n°12

Enseigner c’est comprendre La prise de conscience du but, du modèle à atteindre et la division de ce modèle en actes simples permet de les exécuter puis de les enchaîner (...)
Le répertoire classique, le jazz. Chronique d’un professeur de piano n°13

L’apport du jazz et de l’improvisation dans l’enseignement classique Le travail personnel est important aussi (comme en classique) ; il faut préparer sa pièce, d’abord lentement puis en accélérant, trouver de bons doigtés permettant un phrasé adapté, réfléchir aux différentes harmonisations possibles. (...)
L’aspect relationnel dans l’enseignement du piano. Chronique d’un professeur de piano. N°14

Tout comme il n’y a pas de bon ou de mauvais patient, il n’y a pas de bon ou de mauvais élève (...)
Le toucher et le piano. Chronique d’un professeur de piano N°15

Le toucher du thérapeute, du musicien Le toucher, cette faculté d’appuyer sur une touche et de produire un son plus ou moins fort selon la vigueur du contact (...)
Le toucher et le piano. Le toucher des philosophes. Chronique d’un professeur de piano N°16

Le toucher des philosophes La pratique du piano n’est pas une distraction qu’on abandonne ensuite pour retrouver ses activités habituelles. A la différence d’un loisir, « elle déborde sur le temps qu’on lui consacre, et imprègne durablement l’existence (...)