Une hypothèse étonnante de la cause de la mort de Mozart

D’une part, il n’a jamais été reporté que Mozart est présenté un traumatisme crânien significatif.

D’autre part et cela nous paraît une faille d’importance dans cette hypothèse, « le crâne de Mozart ». De nombreuses invraisemblances viennent mettre à mal le fait qu'il s'agirait du crâne de Mozart.

En 1801, Joseph Rothmayer se rend 10 ans après la mort de Mozart sur la tombe de ce dernier. Joseph Rothmayer aurait assisté à l’enterrement. Mais l’emplacement est incertain, puisque Mozart a été enterré dans une fosse commune, ce qui était fréquent à cette époque à Vienne. Le crâne se trouve auprès de 16 autres squelettes.
Joseph Rothmayer va monnayer le crâne à l’anatomiste renommé Joseph Hyrtl qui lui-même le cède à la fondation Mozarteum. L’authencité à ce jour n’est pas démontré. 
En 1801, Joseph Rothmayer qui aurait assisté à l’enterrement de Mozart se rend 10 ans après la mort de Mozart sur la tombe de ce dernier. Mais l’emplacement est incertain, puisque Mozart a été enterré dans une fosse commune, ce qui était fréquent à cette époque à Vienne. Le crâne se trouve auprès de 16 autres squelettes.
Joseph Rothmayer va monnayer le crâne à l’anatomiste renommé Joseph Hyrtl qui lui-même le cède à la fondation Mozarteum. 
L’authencité à ce jour est toujours discuté. 
En 1991, l'universitaire Pierre-Francois Puech, professeur de médecine légale à la faculté de Marseille (France), avait estimé au terme de sept années de recherche que celle-ci ne faisait «pas l'ombre d'un doute».
 Son analyse reposait sur une comparaison scientifique du crâne avec les portraits du compositeur et relevait notamment la fermeture anormalement précoce du front et l'étroitesse des orbites, compensées par un maximum frontal supérieur à la normale.
Deux anthropologues du Muséum d'histoire naturelle de Vienne, Johann Szilvassy et Herbert Kritscher, étaient parvenus à une conclusion analogue quelques mois plus tard après avoir effectué une reconstitution des parties charnues du crâne.
Mais ces preuves sont loin d’être établis car plus récemment l'ADN du crâne supposé être celui du compositeur et conservé depuis 1902 par la Fondation Mozarteum de Salzbourg, et les échantillons prélevés sur des squelettes que l'on croyait être ceux de la grand-mère Euphosina et de la nièce Jeannette de Wolfgang Amadeus Mozart, «montre sans contestation qu'il n'existe aucun lien de parenté entre ces trois personnes», a affirmé à l'ORF Walther Parson, de l'institut médico-légal d'Innsbruck (ouest). Ces résultats ont été confirmés par le laboratoire central de l'armée américaine, chargé de la contre-expertise.