Blanc
Le comédien, pour que son teint ne paraisse pas blafard et livide sous l’éclairage artificiel de la scène, est obligé de l’aviver d’une façon particulière. A cet effet, il doit s’enduire le visage d’une couche de blanc et de rouge artistement mélangés, qui rende à ses traits l’aspects naturel que leur feraient perdre la lumière du lustre et de la rampe. Le blanc dont on se sert à cet effet est préparé d’une certaine façon, et on l’emploie soit en poudre, soit en liqueur.
Dictionnaire pittoresque et historique du théâtre d ‘Arthur Pougin, 1885
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